vendredi 16 juillet 2010

HISTORIQUE DU TCHAD VUE DE L'ANGLE OPPOSE est-elle une réalité? le gouvernement nous repondra peut être!

L'UFCD dénonce les manigances de pantins patentés !


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Et revoilà le pantin Khébir et son mentor Yacoub Dabio.


Un brulot signé par un certain Rassass circule dans certaines boites mail des mouvements d'opposition à Déby.

C'est avec stupéfaction et colère que nous apprenons en lisant ce courrier que le Président Adouma Hassabalah est accusé d'avoir fomenté une tentative d'assassinat à l'encontre de Abdelbassit Mahamat Yacoub au motif que ce dernier « s'est engagé à son tour pour mener une campagne en vue d'un congrès qui devrait désigner un président nouveau et compétent ». L'accusation est aussi grave que dénuée de fondement.

Il apparaît avec évidence que derrière Rassass se cache encore une fois Mohamed Khébir conseillé par son mentor Yacoub Dabio, frère d'Abdelbassit. L'objectif des deux malfaisants et de leur chef suprême Déby, est encore une fois de déstabiliser l'UFCD pour mieux la dissoudre. Ajoutez à cela que ces gens médiocres sont également attirés par le mirage de l'argent facile

La méthode employée est aussi ignoble que rustique et les ficelles utilisées sont à l'image des comploteurs, grossières. Ce mail est encore une fois un tissu d'incohérences, il est le résultat de la confusion mentale qui caractérise Khébir. Il ne mérite même pas l'analyse détaillée qui mettrait en évidence ses contradictions.

Ce qui est également consternant c'est que ce courrier à été publié par l'ANR qui nous avait habitué jusque là à une grande qualité d'analyse et à beaucoup de discernement. Nous relevons toutefois que le texte en question fait débat au sein du mouvement. Il est cautionné par Mahamat Abbo Sileck mais pas par l’ensemble des dirigeants de l'ANR. C'est d'ailleurs la seconde fois en quelques jours que l'ANR publie un texte qui compte tenu de sa sottise et de sa mauvaise foi ne peut sans hésitation qu' être attribué à Khébir.

Messieurs l'UFCD n'est pas à vendre et il ne suffira pas que trois ou quatre personnes se réunissent à Paris en assemblée générale bidon à l'issue de laquelle sera publié un communiqué encore plus bidon pour que l'état major de notre mouvement soit bouleversé. Les choses ne se passeront pas ainsi, pas à Paris et surtout pas sur l'impulsion du tandem Khébir / Yacoub Dabio.


UFCD – Le Commandement

ufcd@ufcd.org

10 juil 2010 10:31:28 | Actualité


Adouma accusé de crimes par certains.


Abdelbassit échappe à une tentative d'assassinat orchestrée par Adouma

Hassaballah à Khartoum


Abdelbassit Mahamat Yacoub, combattant de l'UFCD, longtemps en

désaccord avec l'ex-président de ce mouvement, vient d'échapper à une

tentative d'assassinat orchestrée à son encontre par Adouma

Hassaballah. Depuis plusieurs semaines Abdelbassit se sentait en effet

menacé par des individus masquant leurs visages la nuit qui venaient

rôder autour de la maison où il habite à Khartoum.

En avril dernier, à l'annonce de la révocation de Adouma Hassaballah

par la base de l'UFCD pour haute trahison, abandon des combattants de

la base arrière, détournements de fonds, corruptions et mauvaise

gestion des biens du mouvement, Abdelbassit s'est engagé à son tour

pour mener une campagne en vue d'un congrès qui devrait désigner un

président nouveau et compétent. Depuis, Adouma Hassaballah a commencé

à nourrir une haine viscérale envers son ex-garde rapproché.

Au fil des semaines, l'ancien président de l'UFCD, de plus en plus

isolé et lâché par les soldats, a du mal à supporter que les membres

de l'UFCD soient unanimes pour s'affairer autour du congrès qui

réorganisera le mouvement et désignera un homme charismatique à sa

tête. En plus, avec la coupure de la PGA annoncée voilà quelque jours,

l'homme est aux abois et se trouve aujourd'hui dans une posture d'une

bête enragée qui cherche à assassiner tous ceux qui ont eu le courage

de le désavouer ou de l'abandonner.

Privé de PGA et sentant que ses jours à Khartoum sont désormais

comptés, Adouma Hassaballah, en complicité avec Moudjrim Kâtir (un

autre mythomane qui raconte à tout le monde qu'il communique avec des

démons), a envoyé jeudi 1er septembre dans la nuit, un «commando»

d'une dizaine de bandits armés agissant comme des véritables coupeurs

de route, avec à leur tête un certain Abdoulaye Malik, pour aller tuer

Abdelbassit Mahamat chez lui. A leur arrivée au domicile de celui qui

allait être leur victime, ils se sont heurtés à la vigilance et à

l'intervention de ses gardes de corps. La victime s'en est tirée

malgré tout avec quelques contusions et un bras cassé.

Actuellement, Abdelbassit Mahamat se trouve à l'Ambassade du Tchad à

Khartoum où il a trouvé refuge. Selon l'ambassadeur du Tchad joint par

un de nos enquêteurs sur place, la victime est prise en charge par ses

soins et est bien traitée. «Abdelbassit a reçu les soins de premières

nécessités et nous nous occupons bien de lui. Il restera ici le temps

qu'il faudra et nous le rapatrions dès que possible», a expliqué

l'ambassadeur.

Après avoir utilisé les enfants mineurs et les combattants issues de

la région du Ouaddaï depuis de nombreuses années à des fins

mercantiles, Adouma Hassaballah a échoué sur tous les plans

aujourd'hui. Il s'est enrichi avec le sang de tous les enfants de la

région et sur les cadavres des martyrs qu'il a utilisés comme des

chaires à canon. Chassé comme un vulgaire bandit de grands chemins par

les Soudanais, abandonné par ceux qui l'ont supporté hier, lâché par

ceux qui l'ont protégé, le voilà actuellement en train de se comporter

comme un coupeur de route en envoyant ses assassins la nuit pour aller

tuer ceux qui ne partagent pas ses convictions qui se résument au

grand banditisme. C'est du déjà vu avec Mahamat Nour Abdelkérim en

2006. Lorsque ce dernier a échoué au maquis, il s'est retourné contre

ses compagnons pour les assassiner. Nous pensons aux deux frères

Abdelchakour assassinés en plein jour.

Quant à Adouma Hassaballah, les assassins qu'il a envoyés pour tuer

Abdelbassit ont failli à leur mission. Cet échec les a contraints à

dénoncer Adouma comme étant le cerveau de la tentative de meurtre sur

la personne de Abdelbassit Mahamat. Un proche de la victime joint par

un de nos enquêteurs présent à Khartoum-Bahri affirme: "Ce Adouma a

franchi cette fois la ligne rouge. A partir d'aujourd'hui nous le

traquerons partout où il ira dans ce monde. Il n'aura jamais la paix

et il ne jouira jamais de l'argent de la PGA qu'il a détourné depuis

des années sur le sang de nos parents et cousins".

La traque contre les businessmen se poursuit et les jours prochains

seront encore plus difficiles pour eux.

Rassass depuis El-Fasher



Ce texte fait débat au sein de l’ANR, il est publié sur la foi des renseignements recueillis par Mahamat Abbo Sileck qui le cautionne, c’est son droit. Il ne réfléte pas l'opinion de tous les membres dirigeants de l'ANR.

5 juil 2010 15:49:42 | Actualité

La famille Deby met le feu aux douanes tchadiennes !


Tchad: Incendie spectaculaire aux Douanes

Un spectaculaire incendie, qui n'a pas fait de victimes, a ravagé lundi matin la direction générale des Douanes du Tchad, à N'Djamena, provoquant d'importants dégâts.

La fumée a envahi une partie du quartier de Chagoua, au sud de la capitale, et a notamment nécessité l'intervention des pompiers français stationnés au Tchad dans le cadre de l'opération Epervier. "Il est prématuré de faire un bilan. On peut toutefois dire que ce bilan sera lourd, très lourd même", a affirmé le ministre des Finances Gata Goulou, en constatant les dégâts. L'incendie serait dû à un court-circuit électrique, a déclaré un douanier sous couvert d'anonymat.

Bon ci-dessus, c’est la version officielle. La vérité est beaucoup plus douteuse et dans la logique debyque. La famille du tyran a la main sur tous les services douaniers, payer la mère du tyran, c’est échapper aux taxes et aux inspections.

Evidemment l’entretien des entrepôts, les respect des règles d’hygiène et de sécurité élémentaire, tout cela n’intéresse pas la famille debyque. L’ensemble est infesté de rats et dans un état de délabrement effarant puisque tout argent destiné à l’entretien est pompé au passage.

Un transporteur dont nous tairons le nom, fatigué de se faire racketter, avait laissé ses marchandises sous douane et menaçait de se plaindre directement à Deby. Pour lui donner une leçon, la famille régnante a décidé de mettre le feu aux produits de cet imprudent.

Hélas, vu l’état des bâtiments, le feu s’est propagé partout, détruisant au passage beaucoup de produits volés par Deby.

Tel est pris qui croyait prendre !



Dis donc Idriss, tu as pas besoin d'un Ministre des Finances ? J'ai Woerth qui va être disponible bientôt !



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5 juil 2010 15:19:13 | Actualité

Pourquoi Deby reste en place.


Tchad : Quelles sont les raisons qui empêchent de chasser Deby ?

La quasi-totalité des Tchadiens veut chasser Deby et pourtant celui-ci se maintient au pouvoir depuis 20 ans car il bénéficie de complices objectifs qui empêchent la rébellion de réussir. Il existe des causes non tchadiennes, essentiellement l’action néfaste de la puissance coloniale ou l’ingérence de pays étrangers qui ne veulent pas d’un Tchad fort et prospère. Mais il y a aussi des raisons propres aux Tchadiens et nous devons identifier ces raisons et trouver des solutions pour régler les problèmes.

Depuis 20 ans on voit des individus se dire des opposants et si on les voit peu s’opposer, on parle d’eux souvent, mais toujours parce qu’ils se sont mal conduits. A chaque fois ils sont pris dans des affaires de vol et de corruption, c’est pourquoi on les a nommés les opposants/businessmen.

Prenons le cas de Timan, de CotonTchad à l’UFR, il a tout raté. Fermez les yeux, concentrez vous et vous ne trouverez aucun succès à mettre à son actif, c’est dramatique. Pourtant c’est lui que les Soudanais ont imposé à la tête du machin UFR car il avait promis tout et n’importe quoi. Les responsables soudanais en charge du dossier tchadien aiment choisir des gens qui les cocufient, ils n’ont pas été déçus avec Timan.

Celui-ci n’a, en effet, jamais vraiment combattu Deby. Au contraire il a passé tout son temps à informer Deby. Timan croit qu’il va chasser Deby par une révolution de Palais, la famille finissant par le préférer à son oncle. Il veut donc à la fois affaiblir Deby militairement mais éviter que les chefs rebelles deviennent trop forts pour lui barrer la route. Voilà pourquoi il a été impossible pour Adam Yacoub de surprendre l’ANT. Tous ses échecs sont dus à Timan.

Mais ce n’est pas tout. En bon businessman, Timan ne peut éprouver du plaisir à faire tuer que s’il gagne de l’argent en même temps. Dans un premier temps, Timan n’ayant pas de troupes à vendre à son oncle a eu l’idée de lui proposer les soldats du FSR. Il a donc ordonné au vaillant capitaine Ismail de se rendre à Deby. Le capitaine a refusé tout net en ces termes « plutôt mourir » !

Timan a alors eu une attitude que seul des gens sans honneur peuvent avoir. Tous les mois en effet, les Soudanais, les Saoudiens, les Libyens, etc. remettent une somme au chef de l’UFR qui est chargé de redistribuer « équitablement » la somme entre les composantes du machin, c’est, entre autre, le fameux PGA dont tout le monde parle. Si Timan reçoit 1000, il en redistribue 100 dans les bons jours. Pour faire pression, il a décidé de couper les vivres au FSR et, trouvant ensuite l’idée excellente, il a fait de, même avec tout le monde pour tout garder. Même les propres troupes de Timan, les 30 hommes du RFC crèvent de faim, mais dans quel immonde cloaque moral vivent donc ces opposants/businessmen?

Devant de tels méfaits, qui durent depuis si longtemps et qui sont le fait de tous les businessmen, nous nous réjouissons que les Services Soudanais aient convoqué Timan, Abdel Wahid About, Mahamat Nouri, Mahamat Ahamat (Hamoudi), Djibrine Assali et quelques autres pour leur remettre officiellement une convocation de la justice soudanaise pour escroquerie envers des commerçants soudanais.

Nous ne nous faisons guère d’illusions sur la justice soudanaise, et les raisons qui la pousse à agir, mais il est bon que de tels bandits soient pourchassés et, espérons le, punis.

Il est probable que les Soudanais ne tireront aucune leçon du passé et qu’ils nommeront d’autres incompétents cupides à la tête de mercenaires anti Deby. Comment Khartoum peut il considérer qu’il peut compter sur les nuls qu’ils chérissent avec tant d’ardeur avant que ceux-ci les trahissent, c’est un cas d’aberration psychiatrique. On ne va pas continuer à crier dans le vent et, au fond, cela nous indiffère car la rébellion que nous soutenons est la rébellion nationale tchadienne.

Nous l’avons dit de très nombreuses fois. Nous souhaitons les meilleures relations avec nos voisins mais ils doivent nous respecter. Si on nous comprend, nous serons des amis fiables, si on ne nous comprend pas, nous combattrons. Nous savons le faire et depuis longtemps !




anr.tchad@gmail.com



J'ai un fusil, je suis un opposant.... euh... j'ai un gros ventre, je suis un businessman !


Le désastre de l'éducation nationale au Tchad.


50 ans d’indépendance du Tchad : Education



nationale, on avance en reculant.




Le développement des ressources humaines est la première priorité de toute stratégie de réduction de la pauvreté et la condition sine qua non de la modernisation de l’économie, de la consolidation du processus démocratique et d’une croissance inclusive. Mais au Tchad, le développement de l’éducation est dominé par toute une série d’obstacles.



Classe surchargée, personnel insuffisant, enseignants démotivés et de moins en moins qualifiés, absence de matériel didactique, dans un contexte général ou la progression de la scolarisation ne suit pas la croissance démographique, où les filles et garçons ne sont pas sur un pied d’égalité et où l’analphabétisme reste important. Le problème de qualité se pose au niveau de l’enseignement de base. Sur tous les plans, efficacité interne du système, taux de redoublement, taux d’achèvement, et taux de survie les résultats obtenus ne sont pas encore satisfaisants.

D’autres facteurs expliquent que la qualité inadéquate de l’enseignement, la diminution du pourcentage des maîtres qualifiés avec l’augmentation rapide du nombre de maîtres communautaires sans formation complémentaire adéquate et le ratio élèves et maîtres.

Le Document de Stratégie de Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SNRP2) montre que “ environ 62% de Tchadiens entrent dans la vie active sans avoir reçu un enseignement primaire complet et 47% de ceux qui achèvent le cycle primaire restent analphabètes”. La proximité d’un établissement scolaire est aussi un indicateur de la facilité d’accès à l’éducation. Les données de l’Enquête de Consommation des Ménages et du Secteur Informel au Tchad II (Ecosit2) montrent que 55% des élèves mettent plus de 15 minutes pour atteindre leur école.


Ce temps est nettement plus long dans la zone rurale septentrionale que dans le sud et dans les villes. Tous les rapports qui dressent un état des lieux de l’éducation au Tchad depuis les cinquante années sont alarmants et concluent à la faillite de la plupart des systèmes éducatifs du pays.

De grandes faiblesses sont apparues dans les systèmes éducatifs tchadiens, à cause de l’absence de consensus pour définir et gérer l’école dans ce pays. Malgré que le gouvernement a mis en œuvre une stratégie “Education – formation – emploi” pour améliorer l’efficacité du système et en février 2002, il a préparé une lettre de politique sectorielle visant à universaliser l’éducation primaire en 2015.


Le rapport d’évaluation adopté en avril 2005 à Alger, au cours de la deuxième conférence des ministres de l’Education de l’Union africaine stipule en effet que la plupart des systèmes éducatifs sur le continent africain restent inadaptés aux besoins sociaux, aux perspectives d’emploi et aux exigences de l’économie nationale.


Un responsable du ministère de l’Education nationale estime que « moins d’un tiers des enfants âgés de sept ans avaient accès à l’école primaire, que le taux de scolarisation dans l’école secondaire plafonnait avec de fortes disparités régionales et une sous-représentation des filles tandis que la population de dix ans et plus ne savait ni lire ni écrire dans une des deux langues officielles : le français et l’arabe littéraire ». Si des efforts ont été accomplis grâce aux revenus du pétrole, dans le secteur de l’enseignement de base et du secondaire, le Tchad est resté très en deçà des objectifs de l’éducation pour tout afficher.

Même si le pays progresse avec la construction et le recrutement des enseignants, la chance d’atteindre les 80% de taux net de scolarisation d’ici 2015 est une utopie pour les Tchadiens. L’enseignement secondaire reste le parent pauvre du système éducatif. Les systèmes d’enseignement secondaire n’ont pratiquement pas changé depuis l’heure d’indépendance. Le pourcentage des élèves terminant le cycle secondaire évoluent mais la plupart de ces élèves sont de vrais tonneaux vides.


On attribue la faillite du système d’enseignement à toute une série d’obstacles. L’instabilité politique, les conflits liés aux guerres, la politique d’austérité, imposée aux pays africains en crise par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international a affecté négativement le corps enseignant.

Selon Jérôme Mbainaïssem, ancien professeur au lycée Félix Eboué, « Les maigres rémunérations des enseignants ne les motivent pas à se donner entièrement à l’enseignement et les frais de scolarité et les fournitures scolaires ; cahiers et livres sont devenus trop lourds pour les familles les plus démunies ».


Pour sortir les systèmes éducatifs de l’impasse, plusieurs solutions sont proposées. Certaines sont à forte connotation politique.

Mbainaïssem suggère en ce sens : « la résurrection de l’enseignement de base et secondaire au Tchad, passe par l’affirmation de l’Etat de droit, le respect des libertés, le refus des conflits et des guerres fratricides ». La déclaration d’Alger insiste sur la gratuité de l’école, l’obligation scolaire, l’égalité d’accès à l’école entre les filles et les garçons.

Autre proposition très en vogue est la mise en place une éducation bilingue notamment dans le cycle primaire jusqu’aux universités initié par le président de la République Idriss Déby Itno le 31 décembre dernier à Sarh.

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Jean Philippe Odinakachi

Selon nos informations, pour combler le trou budgétaire de 170 milliars de FCFA, Déby a décidé d'emprunter une somme indéterminée auprès d'un pays inconnu. Tout cela sent encore la magouille, pourrait-il en être autrement ?


L' Université, façon Déby !

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